Nabokov, Pléiade, tome III : ouf ! Vingt-et-un ans après le début de leur pléiadisation, les romans de Nabokov sont maintenant au complet sous la célèbre reliure, etc., etc., et on peut juger sur son ensemble un massif impressionnant, relativement homogène, inégal, toujours intéressant (Nabokov était trop intelligent, et trop bon lecteur, pour écrire quoi que ce soit de médiocre), parfois ennuyeux. En 1999, à propos du premier volume (sur l’édition duquel j’émettais
Nabokov, quand le génie résiste à l’intelligence
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