Pour ma génération, la lecture des chroniques d’Éric Rouleau dans Le Monde constituait un phare éclairant le tiers-monde qui nous permettait de décrypter les méandres d’un univers en plein bouleversement. Peu d’entre nous étaient cependant conscients que ce n’était pas par simple courtoisie que ce brillant journaliste bénéficiait du rare privilège d’être admis au sein du sérail des étoiles montantes du nationalisme arabe. Soucieuses de se ménager des
Mémoires d’un journaliste et diplomate « progressiste »
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