Mais déjà quand j’avais dix-huit ans, le plus fascinant des personnages de Mauriac, c’était Mauriac. C’était déjà un sujet sur lequel nous ne remettions pas de copie blanche. Dans sa chambre d’étudiant du 103, rue de Vaugirard, mon camarade d’enfance et de pays François Mitterrand me lisait à haute voix les pages de Mauriac sur Le Jeune Homme, les deux races, celle « dont Saint-Preux, Werther, René furent à la fois les fondateurs, les saints et les mart
Mauriac et Mitterrand
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