Pendant cinquante ans, Marc et moi, au long d’une amitié qui n’a cessé de se renforcer, nous avons parlé revue (et de mille autres choses bien sûr), mais tout s’est noué autour de Contrepoint et dénoué, quelques semaines avant qu’il ne disparaisse, quand il corrigeait, dans de grandes souffrances, l’essai sur Vinci qu’il avait promis et qu’il voulait voir paraître dans Commentaire. Georges Liebert, que j’avais connu quand il était étudian
Marc et Commentaire
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