Malraux et la fin du système français des Beaux-Arts

Le Musée imaginaire d’André Malraux n’a jamais compté parmi mes livres de chevet. J’ai aimé les Beaux-Arts de loin et de confiance, bien avant de franchir pour la première fois, aux Offices, à Florence en 1949, la porte d’un musée. J’avais dix-sept ans et je n’avais jamais vu de tableau, sinon dans les reproductions sépia du Larousse universel en deux volumes. Ce jour-là, je connus le bonheur de passer de l’image à l’original, de l’ombre à la proie. Le portrait de Lu

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