Parmi les épisodes historiques majeurs vécus et analysés par Stanley Hoffmann, la crise irakienne de 2003 aura été de ceux qui ont le mieux révélé à la fois l’homme et l’intellectuel. Comme naguère avec la guerre et Vichy – évidemment dans un tout autre registre historique –, Stanley aura été, face à l’aventure puis au fiasco des États-Unis en Irak, ce spectateur engagé dont l’extraordinaire pertinence et la formidable acuité d’analyse étaient
L’Irak, l’Amérique et la France
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