Parmi les qualités de Gérard Araud figure son franc-parler1 : esprit vif et lucide, il adopte volontiers un ton non diplomatique et n’est avare ni de formules à l’emporte-pièce ni de vérités pas forcément bonnes à dire. Il vient d’en donner la preuve dans un livre, court et incisif, intitulé Israël. Le piège de l’histoire2, où il décrit l’évolution de ce pays qu’il aime et connaît pour y avoir séjourné deux fois. Le lecteur y cherchera en vain des motifs d’op
L’impossible règlement
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