La notion de « bien commun » semble trop tiède pour servir de cri de ralliement et mener la charge contre l’ennemi. Quand on en entend parler, on se contente, assis sur son siège, d’approuver d’un hochement de tête. Elle émane cependant d’un certain conservatisme qui, lassé de perdre face aux libéraux, cherche à renouveler ses principes fondateurs et à en trouver de meilleurs, capables de lui donner la satisfaction de la victoire. Mais, avant de s’occuper du cas des libé
Libéraux et conservateurs : à chacun son bien commun
La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique + archives...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article