Lorsqu’on souhaite se pencher sur l’âme de l’Europe1, on est tout d’abord confronté à une tâche redoutable que nombre de penseurs importants ont entreprise. Certains l’ont rattachée à ses racines chrétiennes. Plusieurs décennies après Robert Schuman, c’est Jacques Delors, fervent catholique lui aussi et père du marché unique, qui affirmait que ni le marché ni les institutions ne suffiraient jamais : le projet européen avait besoin d’une âme, formée d’élément
L’héritage européen : d’ombre et de lumière
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