Le peuple allemand s’est donc exprimé : l’Union européenne restera une tortue2. En mai prochain, à la suite des élections européennes, nous découvrirons la lenteur de cette malheureuse créature. Alors, au cours de la prochaine décennie, à la manière d’Ésope, se posera une plus vaste question : la tortue européenne a-t-elle les moyens de dépasser l’aigle américain et le dragon chinois ? Ou arrivera-t-elle au moins à suivre leur rythme ? Aussi éclatante
L’Europe de Mutti Merkel
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