La crise de la droite « républicaine »1 déclenchée par les élections européennes est d’autant plus aiguë que, pendant la campagne électorale en vue du scrutin, les sondages avaient annoncé un score honorable, de l’ordre de 14 %, pour la liste conduite par François-Xavier Bellamy. Cette prévision semblait valider la stratégie de Laurent Wauquiez, qui reposait tout entière sur l’idée de la solidité d’un électorat conservateur qui s’était reconnu en
L’état de la droite
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