La Grande Guerre poursuivit Alfred Fabre-Luce toute sa vie, comme beaucoup de ses contemporains, et il lui consacra une partie importante de ses réflexions d’essayiste : un livre en 1924, La Victoire, republié en 1932, toute une partie de son livre de 1967, L’Histoire démaquillée, et deux chapitres (même trois, si on considère que l’occupation de la Ruhr en 1923 est la prolongation de la guerre) de ses Douze journées décisives, en 1981. Sa véritable obsession ét
Les responsabilités de la guerre de 1914 et Alfred Fabre-Luce
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