Pour la énième fois en quinze ans, nous sommes au chevet du même malade : la recherche française. D’un côté des chercheurs qui voudraient limiter le problème à un manque de moyens, de l’autre des pouvoirs publics, guidés par un Premier ministre sans vision, confrontés à des problèmes de trésorerie. Mauvais départ et mauvaise solution à l’horizon. Le gouvernement donnera quelques crédits supplémentaires et/ou quelques postes et tout le monde rentrera chez soi. Ã
Les raisons de n’avoir aucun espoir
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