La liberté académique n’est pas un privilège inventé par les universitaires pour jouir d’une situation exorbitante du droit commun. Elle est un moyen qui permet à l’Université de réaliser ses propres fins en disposant d’un corps professoral jouissant de la liberté nécessaire pour accomplir correctement son travail. Elle doit donc servir l’ensemble de la communauté universitaire et par là même l’ensemble de la société. Cela suppose, en contreparti
Les libertés universitaires (II)
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