En 19601, Georges Vedel, Doyen de la faculté de droit de Paris, écrivit un très bel article sur « les libertés universitaires » dans la Revue de l’enseignement supérieur2. Avec son sens bien connu de la rhétorique, il introduit son sujet en imaginant le cas où un « maître déjà ancien » serait consulté par un collègue plus jeune, souhaitant rejoindre une entreprise. Le maître se garde bien de faire la morale au jeune collègue tenté par une activité plus lucrative, ma
Les libertés universitaires (I)
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