À défaut d’un cinquième volume d’« Œuvres complètes », qui permettrait enfin la relecture, loin des polémiques, des « sulfureux » pamphlets dont la difficulté d’accès offre aux plumitifs l’occasion de pousser des cris d’orfraie au seul nom de Céline, et les autorise à développer un paradoxe bon à meubler les dîners en ville – « Céline, quel grand écrivain, mais quel répugnant personnage » –, la Pléiade publie aujourd’hui un vol
Les lettres de Céline
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