Ayant convoqué [dans La Grande Pitié des églises de France, 1914] toutes les bonnes volontés, toutes les parcelles de divin qui pouvaient s’élancer à la rescousse pour défendre les pierres du passé, le passé de pierres et d’âmes, M. Barrès s’écrie : « devant ces églises, çà et là demi-désertées, demi-écroulées, je me surprends à murmurer la grande vérité, le mot décisif : les églises de France ont besoin de saints ».[…] si le christianisme devai
Les églises de France
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