Avant l’annonce de sa publication en Pléiade, j’avoue, à ma courte honte, que Lovecraft n’était pour moi qu’un nom. J’aurais été incapable de le situer dans le temps, ou dans l’espace. Tout au plus, je savais qu’il avait vécu au xxe siècle, et qu’il était de langue anglaise. C’était peu. Je le classais vaguement du côté de Tolkien, ou de Philip K. Dick, un « auteur de science-fiction » sans doute prisé d’un camarade, en 3e, au lycée de Clermont-Ferrand,
Les diamants noirs de Lovecraft

Récits
H. P. Lovecraft
Édition publiée sous la direction de Ph. Jaworski, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 2024
1408 pages
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