Napoléon III, dénoncé par Karl Marx, Victor Hugo et tant d’autres, n’a pas bonne presse dans notre roman national. Il est vrai qu’il est rare qu’un régime réunisse autant de qualités pour mériter ce traitement : un personnage principal sans charisme, auteur d’un coup d’État sanglant, recourant à la plus brutale répression, érigeant le trucage électoral en système, parrainant l’affairisme le plus ostentatoire et responsable d’une des
Les chemins qui menèrent à Sedan
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