La question des « quartiers » illustre la course engagée entre la démocratie et les populistes [1]. La démocratie peine parce qu’elle est lente au moment où l’impatience règne, parce qu’elle n’a pas de solution toute faite et tâtonne, parce que trop nombreux sont ceux parmi les élites dirigeantes qui freinent les changements, parce que les démagogues, balayant la lenteur et la complexité du monde, clament « qu’il-y-a-qu’à » et attisent les rages pour grossir
Les banlieues, le diable
et le bon Dieu
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En achetant cet article, vous aurez accès à tous les articles "Revue de presse n° 183".