L’historien est impuissant à recenser les causes d’une révolution, et plus encore à les articuler ; il doit se garder, nous rappellent François Bluche et Stéphane Rials, de « verser dans une forme d’animisme idéaliste, paradoxalement si présent dans une certaine historiographie marxiste, qui semble souvent dessiner le jeu théâtral de forces idéelles ». Les diverses crises auxquelles la monarchie orléaniste faisait face depuis plus d’une année ne créaient
L’engrenage révolutionnaire en 1848
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