Jean-Philippe Vincent Le latin inconnu Fustel de Coulanges écrivait quelque part qu’il avait lu toute la littérature latine, d’Ennius et Livius Andonicus (iii e siècle avant Jésus-Christ) à Sidoine Apollinaire (v e siècle après Jésus-Christ). Jeune, cette « performance » m’avait sidéré : je la considérais comme impossible, presque inhumaine. En fait, c’est tout à
Lectures 2016
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