Jean Gatty J’ai repris ce livre après la mort de l’auteur. Et si le choc est moindre qu’à la première lecture, en 1988 ou 89, l’ouvrage reste ébouriffant. Car Maurice Allais n’y va pas, n’y allait jamais de main morte. Il faut, dit-il, supprimer les impôts sur le revenu et sur les sociétés. Ces impôts freinent en effet la création de richesses, et lèsent ainsi tous les travailleurs. Le produit
Lectures 2010
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