Le plus surprenant3 est sans doute ici de voir de bons esprits, dont beaucoup ont fait précisément le type même d’études (littéraires et « élitistes ») qu’ils veulent voir disparaître, présenter avec autant d’aplomb un raisonnement aussi bancal dans lequel, pour parler comme Saint-Simon, on trouve « autant de folies que de mots ». Si, comme on le dit, le problème majeur de l’école vient des défaillances des élèves les plus faibles dans les apprentissa
L’école, l’excellence et l’égalité
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