Trois raisons Première raison : l’interminable conflit syrien a de facto rapproché les trois acteurs. Nous reviendrons sur ce point, mais notons dès maintenant cette évidence : les trois compères sont entrés dans le jeu syrien avec des objectifs différents, compatibles au départ entre Russes et Iraniens, mais totalement opposés s’agissant de la Turquie et des deux autres. Or voici plusieurs années qu’ils ont trouvé les moyens de travailler ensemble dans le cadre de
Le triangle : Turquie, Russie, Iran
La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique + archives...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article