Sans te connaître nous avons suivi ton ombre; elle souffrait et riait d’un rire qui sans doute ressemblait à ton rire. D’où venaient, Kostas, ta force et ton génie ? De Grèce bien sûr où tu fus enfant-roi, de Grèce où tu appris le sens du mot tyran, de Grèce où armes à la main tu t’es battu, laissant à la guerre tes dents et un peu de ton âme. À Paris exilé, tu moquas les tyrannolâtres, les caqueteurs de vide, les gardiens du mensonge. À Reia Tu édifias contre eux une mu
Le rire de Kostas Papaïoannou
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