Le retrait de l’Otan : un coup de tête

Bertrand Fessard de Foucault. — Du coq à l’âne, les questions nucléaires ? (Pierre Messmer m’ayant dit qu’elles lui avaient semblé peu intéresser son collègue.)Maurice Couve de Murville. — Pour moi, c’était un élément politiquement fondamental de la politique extérieure, parce que cela mettait la France sur un pied d’égalité avec les autres. C’était pour moi un élément essentiel de la position politique française. Ce qui n’était pas

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