Hocine Rahli. — Pourquoi avoir choisi d’écrire ce roman ? Camille Pascal. — La révolution de 1830 m’est apparue comme un angle mort de notre histoire, car elle est prise en étau entre celle de 1789, présentée comme le triomphe des Lumières, et celle de 1848, inaugurant les grands combats politiques et sociaux de la seconde moitié du xixe siècle et du début du xxe siècle. Les Trois Glorieuses sont encore méprisées aujourd’hui, taxées de révolution bourgeoise.
Le retour du roman historique. Entretien
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