Huit romans, contre plus de vingt à Mauriac et autant à Julien Green : des trois grands auteurs français que le Lagarde et Michard de ma jeunesse se plaisait à rassembler sous l’étiquette de « romanciers catholiques », Bernanos est celui qui a écrit le moins de fiction (il est vrai qu’il est mort relativement jeune, à soixante ans), et dont on aurait pu craindre que son œuvre, qui, contrairement à celle de Green et de Mauriac, met souvent en scène des prêtres, serait
Le retour de Bernanos romancier
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