En effet, il faut prendre au sérieux cette conviction qui touche toute la société, la classe politique dans une large majorité, jusqu’au sommet de l’État, les syndicalistes, les intellectuels, les moralistes et même certains dirigeants d’entreprise. Des décisions peuvent être prises inspirées par ces idées, au moins dans les domaines qui relèvent encore de la souveraineté nationale. À l’échelle de l’Union européenne ou du G20, la frénésie française
Le procès de la financiarisation
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