Mois de juin idéal, où la lumière du matin semble devoir résonner éternellement, éternellement fraîche aux arbres, approfondissant une étonnante matière sans épaisseur aux façades, aux mains des gens, aux sourires peints dans l’air, dans cette vibration de la peau des rues et des géraniums accrochés aux oreilles des chiens qui pissent, sourire des reflets dans les reflets et dans les ongles vernis des petites filles en cerceau, cette fraîcheur qui est au cœur même du soleil
Le Pêcher originel/La Lymphe
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