Le KGB et l’art de la compromission

Pour son malheur1, Alsop choisit de rester une semaine supplémentaire dans la capitale soviétique, dînant à l’ambassade des États-Unis et se faisant de nouveaux amis. Par la suite, dans un mea culpa détaillé de neuf pages, qui finirait par atteindre les niveaux les plus élevés de l’administration américaine, Joe y décrirait la manière dont le KGB l’avait fait tomber dans un traquenard homosexuel.

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