L’édition 2008 du Festival d’Avignon constitue un incontestable succès, d’autant plus remarquable qu’il tranche avec la « série noire » dans laquelle semblait s’être enfermée, depuis quelques années, la manifestation phare du théâtre français, visiblement en quête d’identité. Juillet 2008 a certes encouru les dangers désormais habituels qui pèsent sur les propositions des directeurs : malaise politique d’un monde du spectacle peu en phase
Le dilemme d’Avignon
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