Autant que pour l’enseignement ou la recherche, Stanley Hoffmann avait une passion pour ses étudiants. Celle-ci se manifestait dès le premier contact, inoubliable. Pour ma part, ce fut le 25 août 1999. « Que puis-je faire pour vous ? » furent les premiers mots qu’il adressa, sincère et chaleureux, à l’étudiant anonyme que j’étais. Quel contraste avec la froideur, la distance, voire le dédain à peine voilé qui avaient marqué, quelques jours avant, mon entre
Le choix de la jeunesse
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