Quand on est parvenu à l’époque de la vie où l’ambition n’a guère d’avenir, quand on ne demande rien aux hommes et qu’on en espère rien, quand on peut se flatter d’avoir approché plus ou moins du but qu’on s’était proposé au commencement de sa carrière – c’est-à-dire d’avoir contribué à expliquer à une nation libre ce que c’était que la liberté – on se sent affranchi de tous les ménagements.
Le but qu’on s’était proposé
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