L’amour des lettres et l’amour des arts

À la Bibliothèque nationale, dans les années 1960, avant les grands travaux qui l’ont transformée, fréquentait presque tous les jours un jeune homme aux cheveux châtains, presque toujours souriant. Marc Fumaroli était régulièrement de bonne humeur. Il est devenu mon ami. Sa vie, pourtant, était aussi difficile que celle de la plupart des hommes. Plus difficile en ce qu’il portait le fardeau d’une homosexualité qu’il ne songeait ni à cacher ni à exhiber, publi

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