Sur les Contes de Perrault

La voix de la conteuse et le goût du merveilleux

Quand, autour de Perrault, quand, chez les Modernes, les doctes prônaient, dans les grands genres, l’emploi du « merveilleux chrétien », ils ne pensaient pas du tout aux contes d’ogres et de fées. C’est vers les anges et leurs hiérophanies, c’est vers les magiciens et les prophètes ermites, c’est vers des bêtes ailées mais montées par des saints ou par des démons que se tournaient alors leurs imaginations. Depuis bientôt une cinquantaine d’années, sur la lancée du Tasse

La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique + archives...

Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.

S'abonner
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article

Thèmes abordés