La Ve République a 60 ans et, désormais, un Président plus jeune qu’elle. Dans les démocraties anglo-saxonnes, par exemple, un tel constat n’aurait même pas lieu d’être. Celles-ci, en effet, paraissent bénéficier de la patine que leur confère non pas leur âge, qui ne compte plus, mais la pérennité qu’elles ont acquise au fil de leur histoire. Le rapport de leurs gouvernants successifs avec l’écoulement du temps en leur sein n’y revêt donc aucune
La Ve République : conclusion, forcément provisoire
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