Œuvre de prétorien Petrograd, 11 novembre. – Voici cinq jours que la capitale de la Révolution – d’une Révolution qui s’était annoncée si radieuse, qui était si belle à son aurore – se trouve sous la botte d’une poignée de conspirateurs audacieux. Le télégraphe bolcheviste avait sans doute annoncé au monde entier ce que les dictateurs de Petrograd ne cessent de trompeter ici dans leurs proclamations et leurs « décrets » : à savoir qu&rsquo
La Révolution russe
Lettre de Petrograd au journal L'Humanité
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