La poésie épique et narrative n’est pas morte

Passé à peu près inaperçu lors de sa première publication, en 2010, aux éditions « Aux Forges de Vulcain », Larrons, le premier livre de François Esperet, ressurgit au « Temps des cerises », préfacé par Jean Ristat. De la part de l’auteur du Naufrage de Méduse, qui fut un proche d’Aragon, on sent le plaisir qu’il éprouve à passer le témoin, à constater que la grande poésie épique et narrative française – dont Aragon, avec Le Fou d’Elsa ou Le Rom

La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique...

Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.

S'abonner
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article
Christophe Mercier

Christophe Mercier

Ancien élève de l’École normale supérieure. Agrégé des lettres. Critique littéraire au Figaro et aux Lettres françaises. Dernier ouvrage paru : Longtemps est arrivé (Bartillat, 2019).