Passé à peu près inaperçu lors de sa première publication, en 2010, aux éditions « Aux Forges de Vulcain », Larrons, le premier livre de François Esperet, ressurgit au « Temps des cerises », préfacé par Jean Ristat. De la part de l’auteur du Naufrage de Méduse, qui fut un proche d’Aragon, on sent le plaisir qu’il éprouve à passer le témoin, à constater que la grande poésie épique et narrative française – dont Aragon, avec Le Fou d’Elsa ou Le Rom
La poésie épique et narrative n’est pas morte
La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article