Comme toute métaphore, celle-ci n’est pas « filable » longtemps, ni absolument. Je vais donc restreindre ma réflexion sur la partie immergée de l’iceberg aux seuls journaux intimes français des xixe et xxe siècles1. Il s’agit par la même occasion de tenter de soustraire à l’oubli quelques œuvres autobiographiques peu ou pas publiées : devant la masse des noms et des textes, il m’a fallu choisir à l’intérieur de quelques séries descriptives, c
La partie immergée de l’iceberg Littérature
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