Depuis quelque temps surtout, il me semble sentir vraiment une recrudescence de grossièreté. Nous y sommes d’ailleurs tellement accoutumés que nous n’y songeons plus guère. Je ne sais ce qu’on dû penser tous les lecteurs de nos journaux, mais j’ai eu, quant à moi, le cœur soulevé de dégoût par la période électorale.J’étais alors loin de Paris, et souvent des journaux locaux me sont tombés sous les yeux. On ne saurait croire quel vocabulaire poissard et
La grossièreté en politique
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