C’est avec une grande tristesse que nous ouvrons la Critique par cet article. Thérèse Delpech nous a brutalement quittés le 18 janvier, sans que rien ait transparu de ses souffrances et de la maladie que ses plus proches nous ont dévoilées depuis. En décembre je l’ai souvent vue. Elle avait préparé pour Commentaire la publication et surveillé la traduction de l’article d’Andrei Piontkovski, le jeune intellectuel russe, dont elle trouvait le témoignage lucide et
La grande rupture
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