La fortune de la France s’abîma printemps 1848

C’était du temps de ce bon Gouvernement provisoire qui fit tant de choses et qui en laissa tant faire. La fortune de la France s’abîma tout entière en moins de quinze jours, mais c’était sous l’invocation de l’égalité et de la fraternité. Quant à la liberté, elle n’existait que pour les fous, et les gens sages se seraient gardés d’en user. « Les gros ont terriblement peur », disait ma portière ; mais les petits triomphaient et c’ét

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