La crise actuelle n’a pas de précédent. Elle intervient en effet à un moment où la globalisation a créé des interdépendances fortes entre toutes les économies. Et partout dans le monde l’opinion vit ses rebondissements en temps réel, grâce aux nouvelles technologies de l’information. À ses yeux, cette crise trouve son origine dans l’emprise croissante que la finance et plus particulièrement les marchés exerceraient sur la vie économique. Au niveau macroécon
La finance ne serait-elle qu’un monde virtuel ?
La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique + archives...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article