En arrivant le premier jour dans mon bureau [du ministre de l’Intérieur], je trouvais un dossier siglé au nom des Renseignements généraux dont le directeur se trouvait être le très chiraquien Yves Bertrand. Je ne le connaissais quasiment pas. Tout juste l’avais-je rencontré deux ou trois fois lors de manifestations publiques. Une petite dizaine de notes dites blanches, c’est-à-dire sans signataire, et sans en-tête, étaient ainsi proposées à ma lecture. Je saisis la
La fin d’une époque ?
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