C’était il y a trente ans ou presque – et non point quarante. L’auteur de ces lignes ouvrait, pour la première fois, un numéro de Commentaire et, quelque temps auparavant, les Mémoires de Raymond Aron et Le Spectateur engagé. C’était la fin de l’histoire, la chute du Mur, le bicentenaire de la Révolution, un étudiant qui tenait tête à une colonne de chars à Pékin… C’était le temps où l’on croyait fermement que la vérité et la liberté triom
La certitude de la bêtise
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