Nombreux et divers sont les grands esprits – historiens, chartistes, juristes1 – qui se sont penchés, même à titre laïque et scientifique, sur la condamnation de Jeanne d’Arc, « lapse et relapse », à la mort par le feu (prononcées les 24 et 29 mai 1431, exécution le 30 mai 1431), sous les qualifications cumulées de crimes d’hérésie, de schisme et de sorcellerie. Leur communis opinio, puissamment confirmée par les documents constitutifs de la procédure dite « d
La cassation et la révision du procès de Jeanne d’Arc
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