La bonne société

En recensant cet ouvrage, on ne saurait oublier les conditions dans lesquelles il a été rédigé : Sylvie Courtine-Denamy subissait un traitement pénible pour un cancer qui devait l’emporter en octobre 2014, avant d’avoir pu relire les premières épreuves de son manuscrit. Ce livre apparaît nécessairement comme une forme de testament. Il est aussi une récapitulation des travaux que l’auteure a menés durant sa vie de chercheuse, non tant sur les doctrines philosophiques

La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique...

Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.

S'abonner
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article