Je suis bien aise du bien qui arrive aux autres

Sans pleurer sur l’humanité, ni aimer trop, ni haïr les hommes, puisque haïr est fatigant, je ne suis pas plus content d’eux que je ne le suis de moi, dont je viens de tracer les écarts et la folie. Tout cela me conduit à d’autres traits de mon caractère. En m’examinant, je ne me trouve qu’une bonne qualité, c’est d’être bien aise du bien qui arrive aux autres.Je juge le monde, et le considère comme les ombres chinoises, en attendant le moment q

La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique...

Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.

S'abonner
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article